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Holivia se recentre sur le soutien psychologique en ligne
Holivia se recentre sur le soutien psychologique en ligne
- Modifié le 
10
November
2022

Holivia se recentre sur le soutien psychologique en ligne

Holivia s'oriente vers un service de soutien psychologique en ligne. Notre mission est inchangée, promouvoir une approche holistique, centrée sur l’individu, sur son contexte et ses besoins. Plus d'informations dans cet article.

Solution Holivia
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Nous avons décidé de concentrer HOLIVIA sur un service de soutien psychologique en ligne.

Notre mission est inchangée, promouvoir une approche holistique, centrée sur l’individu, sur son contexte et ses besoins.

Nous croyons qu'il est aussi important de prendre soin de sa santé physique que de prendre soin de sa santé psychique. C'est un sujet d’actualité en ces temps troublés par la crise sanitaire.

La santé mentale couvre un champ plus large que celui de la psychiatrie et se caractérise, selon la définition de l’Organisation mondiale de la Santé, par l’absence de troubles mentaux, une bonne adaptation au milieu social et une bonne tolérance des aléas de la vie personnelle, familiale et professionnelle et de la vie en société.

Un enjeu de santé publique

Aujourd’hui, 1 français sur 5 (12 millions de français) sera confronté au cours de sa vie à un problème de santé mentale

C’est un enjeu majeur de santé publique. En plus de leurs conséquences personnelles dramatiques, elles ont un impact économique majeur. Selon une estimation réalisée en 2007 les coûts associés aux maladies mentales atteignent un total de 110 milliards d’euros par an, liés à la fois aux dépenses médicales et médico-sociales, à la perte de productivité ainsi qu’à la perte de qualité de vie.

La crise sanitaire de la COVID révèle les insuffisances de l’offre de soins en santé mentale dans notre pays. Le confinement a des conséquences lourdes pour les patients ainsi que ceux qui les aident et les accompagnent. Difficultés de suivi pour ceux confinés à domicile, impossibilité de recevoir des visites pour ceux suivis en établissements. Les aidants se retrouvent quant à eux trop souvent démunis, les personnels de soins subissent de leur côté la tension et la surcharge de travail liés au contexte. A cette liste il faut à présent rajouter toutes les personnes que le confinement fragilise avec une explosion des troubles psychiques, particulièrement chez les plus jeunes et dont la prise en charge est difficile voire impossible, faute de parcours de soins adaptés à cette période exceptionnelle.

Dès le 23 mars, Santé publique France a lancé l'enquête CoviPrev auprès de 2 000 personnes, afin de suivre leur état psychologique et l'évolution de leurs comportements dans un contexte inédit. Après une semaine de confinement, l'anxiété touchait 26,7% des personnes interrogées, contre 13,5% en 2017. Et jeudi 19 novembre, le ministre de la Santé a révélé que le numéro d'aide mis en place sur ces questions (le 0 800 130 000), géré par des associations, recevait "près de 20 000 appels par jour"

Infographie: source fondation FALRET

Favoriser le premier pas

Notre mission se précise car nous souhaitons aider le plus grand nombre à franchir le premier pas vers l’accompagnement psychologique.

Selon une étude de la fondation FALRET, 14% des français songent à consulter. 11% ne savent pas vers qui se tourner, 8% n’osent pas faire le premier pas. HOLIVIA s’adresse à ces millions de personnes en permettant très simplement d’être orienté vers un praticien et permettre un premier échange gratuit.  

Nous mettons en avant les thérapies brèves et les thérapies cognitives et comportementales. Impliquant un dialogue actif entre la patient et son praticien, elles sont davantage orientées sur le "comment" et les solutions plutôt que sur le "pourquoi" et les causes. Comment on améliore l’ici et le maintenant. Elles ne s'intéressent pas, contrairement à la psychanalyse, au passé de l'individu. Elles préconisent l'apprentissage de nouveaux comportements et l'acquisition de nouvelles manières de penser afin de régler ou mieux accepter un problème précis et ponctuel.

Faire le premier pas vers un accompagnement, ce n’est en rien un aveu de faiblesse mais au contraire une très grande force. Il faut beaucoup de courage pour se confronter aux limites de ses émotions et de sa pensée, pour se laisser guider sur des chemins que l'on n'aurait pas forcément empruntés seul, afin d'en tirer un apprentissage et de chercher activement à vivre mieux.

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