SISM 25 - Semaine 2 : 5 pratiques simples pour prendre soin de sa santé mentale

Jour 6 – Je dis non à un truc qui m’épuise

Comment ? Identifiez une demande ou une tâche qui ne vous apporte rien et vous vide d’énergie. Dites calmement “non”, ou proposez une alternative réaliste. Utilisez une technique de Communication Non Violente (CNV) pour le faire. Par exemple : "Je comprends que cette tâche est importante pour toi, et en ce moment je me sens déjà très chargée. J’ai besoin de préserver mon équilibre, donc je ne peux pas la faire pour l’instant."
Quand ? Lorsqu’un collègue vous demande “tu peux juste… ?” et que vous êtes déjà surchargé·e.
Pourquoi ? Poser une limite claire, c’est préserver son énergie et s’autoriser à se respecter soi-même.

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Jour 7 – J’écris une micro-reconnaissance à un collègue

Comment ? Prenez une minute pour envoyer un mot simple : “Merci pour ton aide hier”, “J’ai apprécié ton calme dans la réunion”. Pas besoin de grandes phrases, juste un signe sincère.
Quand ? Le matin, avant de commencer votre journée.
Pourquoi ? La reconnaissance nourrit le lien social et renforce la cohésion. Un petit merci peut changer le climat d'une journée entière. De plus, les émotions positives sont contagieuses, alors pourquoi s'en priver ?

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Jour 8 – Je bouge entre deux tâches

Comment ? Montez une volée d’escaliers, faites trois étirements, ou allez chercher un verre d’eau en marchant.
Quand ? Entre deux tâches assises, quand vous sentez la fatigue physique ou la baisse de concentration.
Pourquoi ? Le corps soutient l’esprit. Bouger stimule la circulation, oxygène le cerveau et relance la vitalité.

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Jour 9 – Je m’autorise à ralentir sur une tâche aujourd’hui

Comment ? Choisissez une tâche de votre journée – écrire un mail, préparer un document – et faites-la volontairement plus lentement. Respirez dedans. Observez les détails.
Quand ? Quand vous sentez la précipitation vous envahir.
Pourquoi ? La lenteur ponctuelle apaise l’esprit, développe la présence et permet parfois de savourer ce que l’on fait.

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Jour 10 – Je me pose la question du lien

Comment ? Demandez-vous : Quel lien me manque ? Avec qui ai-je envie de reprendre contact ? Puis envoyez un message, proposez un café, décrochez le téléphone.
Quand ? En fin de semaine, comme une petite reconnexion personnelle ou professionnelle.
Pourquoi ? Réparer ou nourrir un lien est un acte de soin relationnel puissant. Cela apaise et renforce la santé mentale collective.

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Ces 5 gestes sont des invitations à ralentir, se relier et se respecter dans le quotidien professionnel.

En tant que RH ou ambassadeurs bien-être, vous pouvez les relayer chaque matin dans vos canaux de communication : ils deviennent une respiration collective et contribuent à ancrer une culture de care dans l’entreprise.

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Bonne pratique !